Spark, deux ans après.

Il y a un peu plus de deux ans, je m’inscrivais au programme Spark, comme je l’avais mentionné dans un de mes anciens posts.

Et depuis ? Que s’est-il passé ? Comment ai-je affronté mes soucis du quotidien, développé mon leadership, sorti ma version 2.0 ?

2016
Dès que le programme commence, c’est sur les chapeaux de roues. On me demande de réaliser des travaux, et le premier n’est pas des moindres. Je demande à 25 personnes de me citer 3 qualités ! Ouch, ça commence pas mal … et déjà ça fait réfléchir sur l’image que je donne de moi. Je suis agréablement surprise. De plus, le hasard a voulu que je fasse une rencontre amoureuse, et que je démarre dans une nouvelle entreprise  à ce moment-là.
Au bout du deuxième et troisième mois, il se passe quelque chose d’étrange. Tout se passe bien, c’est le monde des Bisounours, l’enfant que j’étais se réveille à nouveau, j’ai juste envie de me servir au buffet de la vie et de faire pleeeiiiiiin de choses. Je termine mes projets prévus, et je me dis « whouah, je fais quoi en 2017 ? ».  Comme je n’avais pas de tableau blanc, je prends la porte de la pièce qui me sert de bureau (promis je rends l’apparte nickel) et fais un tableau sur lequel je colle plein de post-its, en deux mots je suis juste en train de SCRUMER mon année :

Je me sens déraisonnable, je veux courir le Marseille-Cassis, faire une formation de photographie, devenir mentor chez OpenClassrooms en parallèle de mon job, passer une certification Symfony, une certification niveau A de mon allemand, et surtout je VEUX ETRE CONFERENCIERE AU PHP FORUM … bref je me sens UNSTOPPABLE.

2016 s’achève, je suis en larmes à l’idée de quitter cette année qui a été si belle, malgré les difficultés que la vie apporte, malgré tout.

2017. Le printemps.
J’avance au fur et à mesure mais sens que mon année va être chargée. La vie a fait que ma relation s’est terminée en février, et les choses dans mon travail sont en train de changer, il y a du mouvement, mais qui me déplait : j’étais bien dans mon ancien service, et ça doit être re-visité ! Je pose ma candidature de mentorat, et la réponse tarde. Mince, je dois tenir mes engagements, hop, je m’inscris en formation photo, via une école en ligne.
Je suis encore un peu sous le coup de ma rupture et dans une mauvaise énergie, le programme SPARK se termine et j’ai fini tous les modules. Mais à ce moment-là, je fais un rejet total de Franck Nicolas, et de la communauté Spark  … mon esprit tout entier ne peut plus le supporter, mais à la fin, pour qui se prend-il à faire ses leçons de choses ? et ce fan-club qui l’idôlatre, qui reprend toutes ses expressions, c’est bon les gens, c’est un humain comme vous, avec ses qualités et ses défauts, et il fait caca comme tout le monde !!! Et puis c’est bon, c’est fini, j’ai plus besoin de lui. Je tiens de moins en moins bien mes miracle mornings, je n’ai jamais été du matin de toutes façons.

Je débroussaille mon site AD URBEX : il y a un souci au niveau du référencement, ce qui explique le peu de visiteurs !!! Je veux faire parler de mon projet, je fais une grosse compagne de com’, contacte les webzines et les journaux, et La Nuit me dédie un article !!! J’adore !!!

Au final, le mentorat ne peut pas se faire. Aïe, j’accuse le coup, comme un boxeur qui tombe sur le ring ! ça fait vraiment mal à l’égo, et demande conseil auprès de ma coach perso. Mais je rumine, rumine, rumine, et je ressasse, encore et toujours. Et vient le coup de grâce : un problème au pied, pas grave mais assez méchant pour m’empêcher de courir pendant plus d’un mois, poser mon pied par terre est douloureux et cette coupure avec le sport, alors que je courais souvent, me perturbe. Au travail, je comprends que je ne pourrai pas avoir le poste que je convoitais, et ne le vis pas très bien. J’essaie de relativiser : Franck disait bien « Vous allez avoir plus de problèmes, car vous allez agir plus dans votre vie !! Vie = Problèmes !!! ». Sur ce coup ci, notre coach des coachs, il n’a pas tort ! Mes post-its eux, se retrouvent barrés petit à petit quand les challenges sont réalisés, ou décalés de mois en mois, en mode agile, mais je commence à réaliser que j’ai surestimé ce que je pouvais faire en un an. Qui me dit que cette année 2017 s’accomplira en deux, voire trois ans ?

Vient le moment tant attendu : mon dossier est retenu pour le PHP Forum !!! Et c’est juste dément cette sensation que j’ai ressenti à la réception de cette réponse positive, aussitôt suivie d’un bon moment de stress. Cette présentation est faite lors d’un séminaire qui regroupe les meilleurs développeurs de France. Il fallait que j’assure, et j’ai relevé le défi fin octobre. Je me donne une tape sur l’épaule, je suis fière de moi, et recommencerai volontiers.

Et puis je m’inscris également en auto-entrepreneur, pour accroitre mes revenus, et je ne pensais à ne plus avoir à faire cette démarche, après l’avoir été pendant une année il y a dix ans. Mais je voulais réussir ce challenge, pour monter que j’en étais capable. Au travail, je commence à me poser des questions, je veux monter en compétences, je sens que je le mérite, mais je n’ai pas la reconnaissance en retour. Je décide de me fixer un bon repos pendant les vacances de Noël, et passe le nouvel an dans un petit village de montagne pour faire le point sur ma vie : mince, j’avais fini Spark, mais elle est où, la Amelaye 2.0 ??? Je ne savais pas encore, dans ce bilan trouble et incertain, que j’étais dans ce que Franck appelait le « printemps », j’ai semé, semé, mais rien ne pousse encore. Franck, il me manque au final, je finis par réécouter ses podcasts et pense que malgré ce côté « mascotte »,  il a quand même une méthode qui a fait son effet chez moi. Give me more, Franck !

2018. L’été.
Je ne projette rien de nouveau pour cette année, me contentant de reconduire mes projets de l’an passé qui n’ont pas abouti.

A la TV, un reportage montre les travers des coachs en ligne, et Franck n’est pas épargné. Mais on a beau dire tout ce qu’on voudra, sa méthode donne un sérieux coup de pied dans la fourmilière. Et puis il est juste … humain, avec ses qualités et sa part sombre, comme nous tous.

Je termine mes certifications en allemand. Le bilan est super satisfaisant, en sachant que ce n’est pas évident d’apprendre une langue étrangère une fois adulte, ich bin so stolz auf mich !!
Je décide pour pallier certains trous dans ma confiance en moi, de m’inscrire au Week-End Spark. Au final ça aura été une bonne décision, car niveau travail, j’ai perdu le sens, je tourne en rond et sens que j’ai fait le tour, et une nouvelle opportunité s’offre à moi : celle de monter en compétences et de devenir lead dev. Challenge accepted, je démissionne, non sans regrets car j’ai des valeurs, et j’avais des projets chez eux. En parallèle, une chose incroyable se produit : j’ai une nouvelle chance pour être mentor chez OpenClassrooms ! Deal ! Et je me régale de me sentir utile.
Quand à mon apprentissage de la guitare, tout devient plus simple : ce qui me semblait impossible me devient accessible.

Les graines que j’ai semées poussent enfin, et d’un coup !!! C’est incroyable !! Mais je ne relâche pas. Car dans mon travail actuel, les challenges sont de mise et des gens comptent sur moi. De nouveaux challenges jamais relevés, parfois difficiles, mais qui valent vraiment le coup.

Je me mets alors à faire quelque chose de nouveau : j’investis mon argent dans certains placements : je me forme, et j’utilise mon don ultime découvert lors du deuxième module de Spark, mon hypersensibilité, pour mettre à profit mon intuition. J’entends parler de blockchain, d’ICO, de crowdfunding, et … j’ai faim d’en savoir plus, j’ai ce même coup de coeur qu’il y a 20 ans quand j’ai découvert Internet et le web … c’est juste l’avenir, I’m part of it  !!! Give me more !!!

Mon bilan à deux ans
Je commence à comprendre comment je fonctionne, quand je dois me poser et quand je dois donner un coup de levier à mes projets. J’ai l’impression d’avoir pris un bon coup de maturité, je pense différemment, je suis moins en proie à l’émotionnel et à la peur, je ne cède plus à l’autosabotage et me remets en question en me fiant à mon ressenti. Un mélange d’être toute autre mais de retrouver des anciennes part de moi que la vie avait dissimulées. Ai-je parfois des coups de mou ? Bien sûr ! Ai-je parfois des réveils stressés en plein milieu de la nuit ? ça m’arrive. Comme tout un chacun, mais plus comme avant.

Amelaye 2.0 est sortie cette année. Et ça fait du bien !

Et j’ai une petite idée d’Amelaye 3.0 😉 … la suite au prochain épisode.

Bref. J’ai sauté à 4000m (et ça tourne mal).

Il y a des moments dans la vie où on a envie de repousser ses propres limites, surtout quand on fait du développement personnel, qu’on veut prendre confiance en soi et valser avec ses propres peurs. A vrai dire, depuis que j’ai commencé cette démarche il y a deux ans, l’idée à commencé à me trotter dans la tête, pour ne plus me quitter. Et quand une idée me trotte dans la tête depuis si longtemps, c’est que je dois la mettre à exécution.

Du coup j’ai profité de WES (un séminaire de confiance en soi et de leadership sur 3 jours) pour prendre ma décision. C’était décidé, dans le mois (mai), je saute, that’s it. Et quand je prends une décision, je ne lâche rien. Ceux qui me connaissent savent pourtant à quel point je balise sur un escabeau pour changer une ampoule : oui, j’ai un vertige de malade, et j’ai tendance à éviter les manèges à sensations fortes. Même il y a de cela trois ans, je me souviens avoir dit à ma copine de l’époque « Ne m’offre JAMAIS de saut en parachute, je ne pourrais JAMAIS sauter du haut d’un avion avec mon vertige ! ». Mais je voulais me mettre au défi, donner naissance enfin à cette Amélie 2.0 qui commence à avoir un léger retard de livraison … ça patche sévère, il y en a eu du chemin parcouru depuis, et je peux en être fière, mais ce n’est pas encore ça. Bref, rentrée de mon séminaire, je cherche l’aérodrome le plus proche (Aix-les-milles) et prends rendez-vous pour le 20 mai. Haut les coeurs.

Le 18 mai, je passe chez le médecin pour réaliser mon certificat médical, et alors que je suis dans mes petits souliers, lui se montre peu encourageant « vous n’avez jamais sauté, 4000 mètres ce n’est pas rien, je vous trouve un peu légère ! ». Sympa. Mais non, je reste ferme. Amelaye sautera le surlendemain, c’est non-négociable.

La nuit d’après, comment dire … j’ai sérieusement commencé à baliser, ne parlez pas de dormir, ça n’a pas vraiment été le cas : « Pourquoi j’ai fait ça, pourquoi j’ai fait ça … ». Et pense à toutes les issues fatales : Je fais un malaise en plein vol, pire, je fais un arrêt cardiaque en plein vol (merci docteur), aucun parachute ne s’ouvre, l’avion s’écrase … ha oui. J’ai peur en avion aussi. Le combo gagnant.

Je pars à l’aérodrome, non sans avoir fait mes adieux éventuels à mon chat. Ma mère n’en parlons pas, je ne lui ai même pas soufflé mot là-dessus. Et pendant tout le trajet, je me demande pourquoi je fais ce que je suis en train de faire. L’accueil à l’aérodrome est sympa et bon enfant, les parachutistes sont souriants et travaillent dur sur leurs pliages (j’envie leur patience). Mon moniteur s’appelle Kevin, a un fort accent britannique et je lui demande plusieurs fois de répéter car il parle vite et mon temps de réflexion sous le stress, est divisé par deux. On me fait signer une décharge comme quoi j’ai bien compris les instructions, et la personne à contacter en cas de … décès. Gloups. Oui, pour l’assurance ils sont obligés de mettre ce champ. J’enfile mon harnais, « très important, enchérit Kevin, quand l’avion est là, suis-moi surtout avant de monter, à cause de l’hélice ! ». Oops. Avant même de sauter, je peux lamentablement me changer en sushis. Pas cool. Je fais bonne figure, mais dedans je suis une vraie tempête émotionnelle … pourquoi je suis là, mais prends tes jambes à ton cou et rentre chez toi, Amélie … non, je DOIS le faire (je peux être plusieurs dans ma tête …).

L’embarquement dans l’avion est particulier, nous sommes six, deux sauteurs accompagnés chacun d’un para et d’un cameraman (j’ai pris l’option video), tous serrés les uns contre les autres dans un vieux coucou qui m’a l’air un peu branlant : « Agrippe toi plutôt au cameraman, pas à l’avion il est pas très solide ! ». Nous décollons et petit à petit, nous survolons les nuages … « Regarde, ça c’est Aix-en-Provence, là-bas c’est l’Aeroport de Marignane, là c’est l’aérodrome qu’on a quitté, et là-bas c’est Pertuis, la Durance, et là, tu vois la Sainte-Victoire … parfois on voit le Mont Ventoux mais là c’est trop couvert ». C’est joli, j’ai l’impression d’être dans une émulation de Google Maps. A 3500 mètres, je suis littéralement sur les genoux de mon moniteur, qui m’accroche bien à lui (mais dans ces moments-là, la proximité avec ton para est le dernier de tes soucis). Le rideau en plastique s’ouvre, l’air s’engouffre dans l’appareil, tout le monde se « tcheck ! », et le tandem qui est avec nous saute en premier, littéralement aspiré par le ciel. Et vient mon tour. Mais pourquoi, mais pourquoi, mais pourquoi je suis dans ce vieux coucou, j’ai les jambes dans le vide, à 4000 mètres de la terre ferme, et je ne peux plus faire marche arrière … et j’ai cette tête-là quand je réalise que Kevin va basculer :

Qu’est-ce que je fais là moi ???

Sans prévenir, le moniteur donne de l’élan, nous voilà à notre tour dans les airs, et là mon cerveau se met en off … pas vraiment, je me retrouve la tête en bas et les pieds en l’air un court moment avant de passer en position horizontale, et je sens la panique me gagner … mais qu’est ce qu’il se passe ? je n’ai jamais été confrontée à telle situation, mon esprit et mon corps ne comprennent pas vraiment ce qui est en train d’arriver, biiip biiiip, les alertes retentissent de toutes parts dans mon cerveau. Et là j’ai fait le pire exercice de gestion d’émotions de ma vie. « ça va bien se passer, laisse toi aller, lâche prise », c’est un combat dans ma tête, les pompiers éteignent le feu que mes neurotransmetteurs m’envoient, je me contente de bouger un minimum et me calmer, je file à 200kms/heures vers Aix, mes bras sont propulsés vers le haut, mes joues bloblotent et j’ai le souffle coupé. Il m’arrive juste quelque chose que j’appréhende un max : je n’ai aucun contrôle sur ce qu’il se passe. Hormis ça tout va bien ! Waouh ! Sourions à la caméra 😀 !

I believe I caaaan flyyyyyy …

Au bout de quelques dizaines de secondes, mon moniteur me fait signe : il va ouvrir le grand parachute, et je remonte d’un trait de quelques dizaines de mètres ! Je me calme pour de bon, le rythme est pépère, je prends les commandes, je descends tranquillou, passe un coup à droite, un coup à gauche, je repère un bâtiment abandonné dans le coin, admire le viaduc d’Aix, je remarque The Camp. Kevin m’explique que le temps se gâtent et que c’est déjà arrivé (pas à Aix mais ailleurs), par temps orageux que des parachutistes meurent, aspirés par les strato-cumulus. Ok. Il fait bien de me le dire une fois pas trop haut. Il reprend les commandes « tu te souviens de ce que je t’ai dit ? ». Voui. Au moment d’atterrir je lève les pieds, pour éviter qu’on perde l’équilibre.

Un peu groggy et les jambes tremblantes je me remets de mes émotions. Yes, au fond j’ai kiffé, même si l’émotion était bien bien là. Satisfaite de moi, je me sens … unstoppable. Et depuis, je me dis que si j’ai été capable de sauter à 4000 mètres, je peux faire bien de belles autres choses … comme faire un guili à une araignée ? (nan, plus tard, ça)

Mon premier mois de coaching intensif en ligne !

Il y a quelques mois, accompagnée d’une solide envie de me remettre en question par rapport à ma confiance en moi, j’ai décidé d’entreprendre des démarches régulières.

La première a été de recourir à la kinesiologie pour enlever les blocages énergétiques que mon corps aurait stockés.

La deuxième est de prendre rendez-vous régulièrement avec un coach pour faire un point régulier individuel.

La troisième, s’est faite un peu par hasard en tombant sur la page Facebook de Franck Nicolas. Ce qu’il disait dans ses capsules me parlait. Au fur et à mesure que je le suivais, j’ai décidé d’entreprendre un an de cursus à SPARK, pour révéler en moi l’étincelle du leader qui se cache.

Avant de commencer ce programme, j’ai entrepris de faire un premier point vidéo :

Le premier mois s’est donc écoulé, avec le module 1, qui porte sur la clarté : « Savoir se connaitre et garder le focus », avec des conseils de coaching, des conseils nutritionnels et énergétiques, ainsi que des cursus d’entrepreneurs.

Après ce mois, je fais un deuxième bilan, que je vous laisse découvrir.

A savoir a fait deux mois que j’ai intégré une nouvelle structure. J’ai envie de tout donner pour cette nouvelle opportunité, et montrer peu à peu aux gens quel est mon « moi authentique », inhibé ces dernières années. La confiance en soi s’acquiert, elle n’est pas innée !

A ce jour, j’attends une réponse également pour un projet qui me tient à cœur. Je croise les doigts car ce sera une première si la réponse est positive !

 

La petite liste de mes envies

Une fois n’est pas coutume, je vais laisser le PHP de côté (je vais quand même en parler un tout petit peu).

Ceux qui me connaissent savent quel boost dans ma vie je suis en train de prendre en ce moment. La vie connait parfois ses petits ralentissements, et remises en questions, causées par les difficultés. Le premier pas est de s’en rendre compte, cesser de s’apitoyer sur son sort, et se donner les coups de pied au derrière qui vont.

Il y a quelques années de ça, sur une échelle de dix années on va dire, j’avais fait des projets. Tout plein, et des chouettes. Qui n’ont pas abouti parce que je me trouvais des excuses pour ne pas les concrétiser. Cela donnait lieu à des regrets, des émotions négatives … mais je ne faisais jamais rien pour changer cet état de fait. C’est tellement facile de jouer les Caliméro, n’est-ce pas ?

Puis un jour, les choses vont mieux. Ou disons plutôt, on a fait le cheminement intérieur tout zen et positif, pour aller mieux. Personnellement, je me dis que je suis en train de m’upgrader, amelaye 2.0 est en cours 😉 …

L’an dernier, je m’étais dit : « Tiens c’est dommage, j’ai toujours eu envie d’apprendre l’allemand, je ne l’ai jamais fait, et si je m’y mettais ?  » . J’ai cherché une solution sympa, fouillé sur le web, trouvé Babbel.com, et depuis, je progresse de jour en jour, à mon rythme ponctué par le travail ou les autres projets. Verdict : c’est super gratifiant.

En début d’année, j’ai pris la décision de faire une liste de choses que je n’avais jamais faites, et qu’il fallait que je fasse, par défi personnel. J’avais acheté un livre pour passer le TOEFL, en 2007, soit il y a plus de dix ans. Je ne suis plus dans le cursus universitaire depuis longtemps, mais j’ai eu envie du challenge « certification d’anglais ». Histoire de réviser certaines choses que j’aurais pu perdre depuis la fac, et évaluer mon niveau. C’est la première des choses que j’ai voulu mettre sur ma liste, avec la fameuse certification PHP.

Dans l’ordre, j’ai eu :

– Passer la certification ZCPE (réussi)
– Passer le TOEIC (réussi, niveau C1)
– Passer le ZFCA (Certification Zend Framework) (programmé)
– Passer la certification MySQL
– Peaufiner mes compétences en Symfony (en cours, mais une bonne partie est faite)
– Faire un livre avec mes plus jolies photos urbex
(en cours)
– Apprendre la guitare (la mienne me fait pitié à trainer dans son coin depuis 2009) (trouvé un chouette site de cours en ligne super ludique hguitare.com, je peux dire que cette tâche est en cours)
– Apprendre à nager (ça arrive, non je ne sais pas du tout nager, jamais eu l’occasion d’apprendre, dispensée de sport en pleine adolescence, je rêve en secret d’avoir la grâce de Laure Manaudou … hum …) (en cours)

Forcément, dresser une liste comme ça c’est facile, il faut corser le tout en se donnant une limite de temps. La totalité de ces souhaits se devra être exaucée avant la fin de l’année 2016.

Ce qui est jouable, c’est se donner des challenges pour lesquels on sait qu’on va avoir des résultats concrets. Par exemple, je me vois mal m’inscrire à une certification d’Allemand et viser le niveau C1 cette année, alors que je suis en train de terminer le niveau A2. Il faut être honnête avec soi, évaluer ce qu’on sait faire, ce qu’on ne sait pas encore faire, et continuer pendant une année entière de se donner des coups de pied bien placés pour se tenir à la concrétisation de ces idées, sans papillonner ni procrastiner. Il faut aussi, si vous voulez apprendre un concept, savoir COMMENT vous aimez apprendre. Préférez-vous apprendre par des livres ? par Internet ? Ou avez-vous l’opportunité de prendre des cours du soir, si vous préférez l’échange entre humains ? Je sais par exemple que je préfère être autodidacte, chercher l’info, et les sites avec plein de gadgets comme des rewards à chaque visite 🙂
Donc voilà j’espère que ce billet d’humeur vous permettra de faire vous aussi votre petite liste personnelle 🙂 Tout en réalisant la mienne, je prépare déjà mentalement celle de 2017 😉